11 oct. 2006

A la faveur d'une insomnie...
Qu'importe le temps qui passe
Qu'importe tous ces gens croisés
Tous ces mots dont je suis lasse
Quand un seul résume ma pensée
Ton coeur bien trop rempli d'Amour
N'a pas put se faire à l'idée
De disparaître pour toujours
Abandonnant les être aimés
Le plus précieux des héritages
N'est pas transcrit sur un papier
Il ne tient pas dans une cage
Plutot dans ce ciel étoilé
Je garde en moi ton souvenir
Il m'accompagne jours et nuits
Mais dans chacun de mes soupirs
Un regret toujours me poursuis
Un seul mot je ne t'ai dit
Pour tout vraiment, mémé, Merci.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

merci pour nous aussi, de pouvoir lire et relire ce joli poème qu'on peut envoyer à toutes nos mémés.